Titre | Cokemaking with Canadian medium- and high-volatile commercial coking coals |
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Licence | Veuillez noter que la Licence du gouvernement
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Auteur | Gransden, J F; Price, J T; Leeder, W R |
Source | Centre canadien de la technologie des minéraux et de l'énergie, Rapport Canmet 80-4E, 1979, 29p., https://doi.org/10.4095/307052 Accès ouvert |
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Année | 1979 |
Éditeur | Canada Ministère de l'Énergie, Mines et Ressources |
Document | publication en série |
Lang. | anglais |
DOI | https://doi.org/10.4095/307052 |
Media | papier; en ligne; numérique |
Formats | pdf |
Diffusé | 1979 01 01; 2018 04 09 |
Résumé | Un important marché d'exportation a été mis sur pied pour le charbon cokéfiant canadien de l'Ouest. De plus, l'industrie de l'acier du Canada central emploie des quantités de plus en plus abondantes. Les
charbons domestiques offrent une certaine diversification d'approvisionnement pour les compagnies qui, 'en ce moment, importent la plupart de leurs besoins des États-Unis.. Le présent rapport étudie la qualité du coke provenant des charbons cokéfiant
de l'Ouest et des mélanges de charbons cokéfiant de l'Est et de l'Ouest canadien. Le mélange des charbons de l'Est à basse teneur de cendres et haute teneur de soufre avec des charbons de l'Ouest à haute teneur de cendres et à basse teneur de soufre
donne des cokes ayant des propriétés chimiques et physiques qui conviennent au haut-fourneau. Tous les mélanges ayant été carbonisés dans les fours à coke techniques de 460 mm et de 310 mm de largeur, avaient des basses pressions de cokéfaction et
donc pouvaient être cokéfiés dans les fours industriels. Les résistances à chaud des cokes ont été mesurées avec le test de Nippon Steel Corporation. Ce test a démontré que les résistances varient selon la composition du mélange et d'une façon
semblable la résistance à froid ou le facteur de stabilité. Les facteurs de stabilité ainsi mesurés ont été comparés aux facteurs prédits par les trois méthodes qui suivent. Avec la méthode pétrographique on a obtenu de bonnes prédictions de la
résistance des charbons cokéfiés seuls mais elles étaient moins exactes pour les mélanges de charbon. La méthode du facteur-G était passablement bonne pour tous les charbons et les mélanges sauf le charbon de-l'Est canadien. La troisième méthode
était la plus précise et se servait du rapport entre la résistance du coke, la réflexion moyenne maximale de la vitrinite et la fluidité maximale de Gieeeler obtenu par le traitement des données du CANNET sur 180 charbons de l'Ouest. |
GEOSCAN ID | 307052 |
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