Titre | Évaluation des hyperfréquences pour le suivi de la teneur en eau et des cultures dans les histosols |
| |
Auteur | Xu, Q P; Boisvert, J B; Tremblay, N; Bonn, F; Brown, R J |
Source | Canadian Journal of Remote Sensing 24, 1, 1998 p. 43-52, https://doi.org/10.1080/07038992.1998.10874690 |
Année | 1998 |
Séries alt. | Secteur des sciences de la Terre, Contribution externe 20042625 |
Éditeur | Informa UK Limited |
Document | publication en série |
Lang. | français |
DOI | https://doi.org/10.1080/07038992.1998.10874690 |
Media | papier; en ligne; numérique |
Formats | pdf |
Sujets | Plante; Nature et environnement |
Diffusé | 2014 07 31 |
Résumé | Le potentiel des capteurs actifs à hyperfréquences, et plus particulièrement RADARSAT, pour des applications en sols organiques a été évalué à l'aide d'un diffusionmètre monté sur un camion. Les objectifs
de l'étude étaient de modéliser la relation entre la teneur en eau du sol, la constante diélectrique et le signal radar, et d'évaluer l'impact de la culture et des pratiques culturales sur le signal. Une collecte hebdomadaire de données fut menée sur
un sol organique à la ferme expérimentale de Ste-Clotilde (Québec) entre juin et septembre 1996. Les résultats obtenus ont montré que le suivi des teneurs en eau devait se faire de préférence aux faibles angles d'incidence (25°-HH, 30°-VV) en
l'absence de végétation. Par contre, l'estimation de la biomasse, de la teneur en eau dans la plante et de la hauteur du couvert était préféable aux grands angles d'incidence (50°). Le moment et le type de pratiques culturales ont eu un effet sur le
comportement angulaire du signal et par conséquent l'estimation de la teneur en eau. Une relation linéaire entre le signal et la constante diélectrique a été dérivée pour une surface hersée et une surface semée; elle a montré que la rugosité avait
influencé surtout aux plus fortes teneurs en eau. L'orientation perpendiculaire des sillons par rapport à la visée du capteur dans un champ hersé a produit un accroissement du signal en bande L à tous les angles. Le signal en bande C a été plus
forement corrélé avec la hauteur des plants; on a observé l'inverse en bande L. La biomass sèche a pu être estimée par le signal CHH. L'ajout de la hauteur du couvert dans le modèle de régression a permis d'expliquer 85% de la variation de la
biomasse sèche à 50° d'angle d'incidence. Les corrélations entre les paramètres de la végétation et le signal étaient plus élévées en bande L qu'en bande C. |
GEOSCAN ID | 219427 |
|
|